mardi 6 juillet 2010

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Ca me laisse tétanisé de voir comment vous vous en êtes inspiré puisqu'a ce jour vous vous êtes calquée sur ces témoignages pour écrire et orchestrer le votre, bien sur comme ça c'était pour vous beaucoup plus facile. Vous disiez ceci dit beaucoup de choses vraies dans votre témoignage de 2006, comme le fait que ces personnes sont des artistes féministes queer. Avec qui entre temps vous avez depuis formé une Fem connection internationale et partagez projet et spectacles. Vous êtes désormais une vraie petite mafia.
Fem solidarity, hypocrisie, ou vrai auto endoctrinement, pratique puisque ce genre de groupe vous offre une palette d'outils et de justifications incensées et un confort puisque quelqu'un qui se dit être victime à forcément raison et qu'on la croit sans conditions parce que « ne pas croire sans conditions » c'est reproduire de la violence faites aux femmes. Est ce que vous réalisez seulement les dangers de vos protocoles. Ils sont une porte ouverte à tous le genre d'abus minable de ce genre. Bien sur en tant que femmes vous en etes plus protégées que les hommes bio, ou les FtMs dans notre communauté, mais ces methodes font que n'importe qui peut lancer une cabale contre n'importe qui sans avoir à se justifier!!
Les victimes sont par nature incapable de mentir. Surtout pas les femmes et les enfants. Ces derniers qui sont devenus les principaux outils de chantages dégueulasse des mariages qui finissent mal et dont les mères les persuadent d'accuser leur pere d'abus sexuel pour les leur enlever définitivement et se venger au passage!

Témoignage #6: « En septembre 2006, il noua une nouvelle relation avec une autre femme, et lorsque je protestai, il jeta toute la vaisselle de son petit déjeuner sur moi avec tellement de force que cela eut pour effet de m’ouvrir le genou à travers mon jean. J’en porte toujours la cicatrice. J'essayais de partir aussitôt, et il me poursuivit en jetant un sac entier de litière de chat sale sur moi depuis le haut des escaliers. CECI N'ÉTAIT PAS UNE SCÈNE BDSM. Il m’intima de nettoyer les quatre étages de l'immeuble souillés par la litière de chat, avant que les voisins s'aperçoivent de ce qui s'était passé. J'AVAIS PEUR POUR MA VIE. Et je fis ce qu'il me dit de faire. »

Quand vous êtes revenue des états unis, notre relation était moribonde. J'étais moribond. Vous pensez que je vous ai trahie et c'est surement vrai: je suis sorti avec une autre, qui était autre chose qu'un one night stand autorisé par nos règles. Apres avoir été boycotté et au milieu de cette chasse à l'homme , j'avais besoin de me retrouver dans quelque chose de safe.
Et safe ça n'était pas avec toi.
Safe, ça n'était pas dans une relation bdsm foireuse, safe ça a été avec elle, qui n'avait rien à voir avec rien et qui me faisait du bien. Je suis tombé amoureux d'elle autant que je voulais fuir tout ce qui me rapprochait de façon tordue à ce dont on m'accusait. Je vous l'ai dit à peine vous étiez rentrée. J'ai assumé. Aucun contrat ne promet que l'on ne va pas tomber amoureux.
Vous symbolisiez tout ce qui me faisait du mal: une personne qui se soumettait pour des mauvaises raisons, je voyais clair à présent dans votre jeu, dans votre adoration, je ne voulais plus faire de bdsm, je ne voulais plus être avec vous, votre daddy, votre quoi que ce soit.
L'épreuve que je traversais faisait de vous une sainte de me soutenir, une victime sublime. Tout le monde vous plaignait, mais l'enfer c'est moi qui le vivais. Tout le monde avait pitié de vous, ça ne faisait que renforcer l'image du méchant que j'avais.
Je ne bougeais plus du lit, je me droguais, j'étais désespéré, en dépression violente. J'ai jeté mon bol de rage une fois contre le mur tellement je me sentais impuissant face cette situation et un morceau vous est arrivé dans le genoux nu.
Vous racontez n'importe quoi ce n'est même pas crédible et je vous invite à mettre en pratiques vos fabrication et d'envoyer un bol en céramique dans le genoux de quelqu'un qui porte un jean dans une surface de petit dejeuner de 3m2 maximum pour voir si ça marche ou si meme il se brise. Ce n'est pas du verre. Je l'ai jeté c'est clair, je fais ça parfois en cas de stress extreme, je l'ai balancé dans le mur, de toute evidence puisqu'un morceau coupa votre genoux nu, si un morceau vous est arrivé dessus c'est qu'il rebondissait de quelque part et que vous n'étiez pas la cible du tir.

Par contre je vous ai jeté cette litière dessus. En pleine engueulade. J'étais ma, frustré et déprimé, avec une litiere dans la main pour la descendre, vous me demandiez de sortir avec une fille de notre connaissance qui « serait un choix parfait » et m'argumentiez ça comme une fille qui demande une bagnole à son pere, vous n'aviez qu'a le faire et ne pas me le dire, ça m'agaçait et j'étais clairement hyper focalisé sur mon propre malheur en ignorant completement le votre, la litère est partie, la violence de l'image de la litière étalée comme ça partout, m'a calmé direct mais c'était trop tard. C'était vraiment atroce comme geste, pour lequel je n'ai aucune excuse quand bien même j'étais déprimé, je le regrette sincerement.