mardi 6 juillet 2010

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Tout le long de ce faux témoignage vous utilisez une dialectique de la manipulation perverse et posez une grille de lecture tordue sur les evenements.
Attention beaucoup de gens vont se découvrir des manipulateurs pervers (et vous la première qui etes la reine du cadeau et de l'attention demesurée): je vous ai offert un cadeau pour votre anniversaire!!!
Au moins vous ne pourrez pas en changer la date sur votre carte d'identité et mentir là dessus pour me faire passer pour un monstre.

Nous étions en octobre 2005 et H&M avait sorti une collection très maison close parisienne avec de la lingerie vieux rose et de la dentelle noire, en y passant je m'étais dit que ça vous plairait et, comme un con visiblement, je vous ai pris un corset et des perles pour votre anniversaire.

Le soir dont vous parlez était pas loin d'Halloween, et c'est vous qui me rejoigniez à la fête où j'étais avec mes amis. Votre anniversaire était le 26 octobre mais vous étiez à Barcelone, vous veniez juste de rentrer. Vous m'avez donc rejoins avec vos amis américains de passage à Paris (votre fameux "cercle social" donc dont je vous aurai éloignée... vous venez vous même de dire que vous veniez d'emménager à Paris.)

Une chose vraie dans ce paragraphe: vous aviez bu.

Vous vous étiez déguisées en zombi pour l'occasion, marchiez comme un zombi, et du à l'alcool, un zombi saoul, et vous étiez comme le sont les gens quand ils sont bourrés: vous parliez fort, riez au éclats en mettant les gens mal à l'aise (de par votre costume et votre attitude too much).
J'ai une attitude tres raisonnable et stricte par rapport à l'alcool, et j'ai toujours détesté subir l'ivresse des gens. Aujourd'hui toujours et l'on me connait pour ça. Alors ne supportant pas les attitudes des gens bourrés qui bousculent, vous parlent de très près, sont over sexuels et voir vous font un peu honte, j'ai décidé de rentrer et je vous l'ai dit, étant donné que nous avions rendez-vous ce soir là pour fêter plus tard votre anniversaire. Vous avez suivi.
Selon ce qui est votre probleme dont vous voulez responsabiliser les autres. Je suis indépendant et dit ce que je veux vraiment faire = "je m'en vais", et vous co-dépendante, vous dites et faites des choses que vous ne souhaitez peut etre pas ou en tout cas le prétendez des années plus tard ="je viens avec toi".

Quant au cadeau je vous l'ai offert puisque je vous l'avais acheté.

Témoignage #6 « Après deux semaines passées avec lui, il partit à San Francisco afin d'y retrouver son amante. A ce stade, j'étais prête à essayer de vivre une relation ouverte; malgré le fait que les règles qu'il édictait pour cette relation ressemblaient plus à de la bigamie qu'à de la non-monogamie. »

Mon voyage était à Seattle où je n'avais pas d'amante (puisque je n'y était jamais allé!), j'étais très amoureux de vous.

Vous écrivez:
« Il pouvait sauter qui il voulait (et il le faisait). Mais je n'avais pas le droit de sortir avec d'autres trans, butch, ou personnes androgynes, ou qui que ce soit de sa connaissance ; ces restrictions l’assuraient que je n’aurais aucune aventure avec qui que ce soit, comme je m’en rendis compte plus tard. »