mardi 6 juillet 2010

09

  • Vous
3/12/05
Sujet: Je t'en prie.

>>Je t'en prie rentre à la maison, je ne suis pas un moine. Attendre n'est pas mon passe temps favoris. Je ne peux pas le faire pour plus de 10 jours, j'atteint ma limite je dis « yellow »: j'atteint ma limite.

>>Je t'en prie vraiment, revois moi quand tu rentres. Bien j'aurai du savoir que tu me verrai quand tu veux pas quand ton doux pied arrive en France, mais ça m'a presque choqué quand je l'ai réalisé. Parce que je veux te voir à tel point. Je veux être pres de toi. Je veux te parler: Face à face.

>>Et mon espoir pas vraiment secret: Je veux te serrer. Je veux t'embrasser. Je veux être la fille la plus adorable qui n'ai jamais enchantée ta cuisine. Je veux travailler sur notre relation, jusqu'à ce que je devienne ton honeylove, ta poupée, la petite fille qui illumine ta vie avec sa dévotion pour toi, son acceptation de ton attention et de ta protection, et finalement avec notre engagement mutuel d'onneteté et de confiance.

>> Je sais que rien de tout ça n'arrivera tout de suite. Je vais essayer de me rappeller de prendre les choses doucement, et de ne pas m'attendre à tout tout de suite.

>> Je sais que tu es faché contre moi. Que tu ne veux peut etre pas être gentil avec moi. Que tu as peut etre peur de me voir et tout le travail émotionnel qui est devant nous.
Mais notre compatibilité est indéniable. Et ma volonté de m'ouvrir e d'apprendre de nouvelles choses aussi. J'admet que je suis inexpérimentée, mais je refuse d'être un bébé, je choisi l'honnêteté et la découverte personnelle (l'amour personnel n'est pas si loin). Et je pense que je suis assez forte pour gérer tes épines et tes éclairs.

>> Je t'en prie considère tout le fun et le plaisir qu'il peut y avoir entre nous deux.

~Petite villageoise recherche city boy pour une rencontre amoureuse plus incroyable que ce qu'ils ont jamais connu.


Toute l'origine cet l'amour déséquilibré est ici, dans ce voyage, cette premiere tromperie, et cette dynamique largement arrosée par vous, et votre façon étrange du à vos fétish et vos traumas qui lient étrangement amour à dévotion.

Témoignage #6: « A son retour nous avons recommencé à nous fréquenter, mais il agissait comme si j'étais en pénitence et lui devais quelque chose. Bien qu'il ait couché avec d'autres femmes, j'étais celle qui devait se repentir. »

Je ne vous avais rien demandé à part de disparaître ce que vous n'avez pas fait. je ne voulais pas vous revoir, pas tout de suite. J'étais si blessé par vous parce que je vous aimais aussi. Et vous etes tellement belle, vous sembliez tellement désolée, alors je vous ai laissé revenir dans ma vie.

Je ne sais pas si vous réalisez en vous relisant comme je le fais ces e-mails dont vous m'inondiez à ce moment là, comme vous avez largement mis en place cette dynamique fucked up dont vous vous gargarisez le soir devant un public choisi.
Vous m'aviez trahis je ne voulais plus être avec vous, vous vous êtes jetée à terre, avez proposé le monde. Je vous en voulais, je ne vous faisais plus confiance, je n'avais plus envie de faire de compromis vu comment ils m'avaient explosé à la gueule. Tous nos sentiments étaient mélangé, l'amour, la peur de perdre l'autre, la trahison, la colère, le ressentiment, et le passé de chacun avec les blessures d'abandons et autres cicatrices des étés passés.

C'est sur cette base pourrie que nous avons voulu bâtir notre église.
Parce que vous aviez raison: il y avait une compatibilité indéniable, une attraction fatale, une complicité, une curiosité vis à vis du bdsm, du queer, des fems, du genre en général, j'étais quelqu'un de très indépendant et incisif, avec un caractère cash qui semblait vous plaire, et vous vous étiez adorable, prévenante, intelligente, volontaire, on avait de vraies discussions, on partageait nos centre d'intérêts, nos lectures, on faisait des photos toujours plus belles, vous vouliez des jeux, sans cesse, comme un scout narcissique de découvrir des noeuds marins vous vouliez tout connaitre, toujours plus. Vous vous ré-appropririez votre passé de fervente catholique en teintant nos jeux sexuels d'imagerie catholique où Dieu, Jésus, Marie et Madelaine intervenaient toujours à un moment.