mardi 6 juillet 2010

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Ce témoignage est mon droit de réponse au témoignage n°6 passé par le site et le groupe « engagées enragées » puisque j'y suis cité à mots pas vraiment couvert en public puisque vous y nommez le nom de mon projet photo, et nommé personnellement et en toute occasion quand ça ne laisse pas de traces, en privé. Comme vous mentez éhontément et me penser surement que c'est la faiblesse, qui m'a fait taire pendant ces années, et toutes cachées derrière vos doubles standarts, vous qui parlez de viol, ça devrait vous faire poser des questions sur votre argument « Qui ne dit mot consent ».

Ce témoignage n°6 est une histoire fabriquée, et comme je ne suis pas comme vous, un menteur, et je peux prouver mes dires, je vais donner ma version de cette histoire, ainsi que la votre en italique, en y joignant des documents qui révèleront notre véritable histoire. Emails entre vous et moi, discussion en chat, lettres et document écrits par vous et par moi en 2005 et 2006 et qui ne peuvent plus mentir aujourd'hui. Et bien sur les copies d'écran de tous ces échanges.

La vérité ne se découvre qu'en examinant de pres toutes les versions d'une histoire, supportées par des faits et non des dires, des preuves qui valident ou invalident ces témoignages. Pas se contenter d'une parole. C'est la différence qu'il a entre la justice et une chasse à l'homme.

Alors vous lirez tout, ou pas selon que vous soyiez intéressés et engagés vis à vis de l'une ou de l'autre.

Je n'autorise pas ce texte à être raccourci, des phrases à être extraites de ce texte ou seulement elles font sens. si vous voulez le citer c'est entièrement.
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Ceci n'est pas une histoire d'amour.
Ce n'est pas l'histoire d'une rupture qui s'est mal passée.

C'est une très confortable histoire de victimisation, la plus belles échappatoire à une prise de responsabilités juste, et l'accès au statut de victime si sacré et protégé dans notre communauté. Vous avez toujours eu un goût pour les idéologies prêtes à vous sacraliser tout en vous faisant sentir au dessus de la masse, et bien que je connais votre passé familial, religieux et amoureux, ça ne justifie en rien ce que vous tentez de faire aujourd'hui, en mentant tout en battant des cils, pour me faire porter le chapeau d'un fiasco commun.

Témoignage#6 « J'étais heureuse d'emménager dans une grande ville qui avait une scène et un milieu queer, et le jour de mon arrivée j'ai assisté à la marche Existrans 2005. Je n'ai rencontré personne en particulier mais j'ai pris un flyer xxboys. J'ai passé les trois semaines suivantes au « Bliss » café et les week-ends au Pulp, mais je n'y rencontrais pas la scène queer alternative que j'espérais trouver. Alors j'ai cherché et retrouvé ce flyer, pris une grande respiration en envoyé un email à l'adresse de contact email sur le flyer, demandant à être informée de tout événement culturel queer. »

Votre introduction vise déjà à vous faire passer pour la parfaite activiste queer que vous voulez faire croire avoir toujours été. Vos attentes visaient moins le culturel que le personnel, voir, le sexuel, comme le disent avec élégance vos parenthèses sur mon harnais qui dépassait de la ceinture de mon jean. Vous m'envoyiez une invitation à vous inviter puisque vous ne me retrouviez pas (au bliss ou au pulp donc et pour cause) et vous joigniez trois photos de vous rendant la candidature fabuleuse.